Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
6 octobre 2011 4 06 /10 /octobre /2011 10:16

Nous voilà rentrés de nos 4 semaines en Nouvelle-Zélande, et comme vous pouvez vous l'imaginer, on s'est régalés. Par contre le voyage, surtout celui du retour, était très éprouvant et on est rentrés lundi soir KO comme des zombies. Le plus difficile était le voyage entre Syndey et Dubai, 14 heures non stop dans l'A380, une première. Heureusement cet avion est très silencieux, c'est déjà ça !

 

Mardi matin Gabriel a dû retourner au travail et on a récupéré les perroquets dans la journée. Ils étaient en pleine forme mais contents de retrouver leurs petites habitudes. Finalement après une bonne grosse nuit de sommeil de lundi à mardi, on a récupéré rapidement, même si je me suis levée à 4 heures du matin mercredi, n'ayant plus envie de dormir depuis longtemps.

 

Et maintenant passons aux choses sérieuses : je dois vous raconter 4 semaines de voyage sans vous endormir et sans faire un article tellement long qu'il ferait planter toute la plateforme Overblog !! Je ferai donc deux articles, un pour l'île du Sud et un pour l'île du Nord.

 

Eh oui, car la Nouvelle-Zélande est consituée de deux îles, celle du Nord étant la plus habitée et celle du Sud la plus préservée, avec une immense chaîne de montagne qui lui sert d'épine dorsale.

 

nouvelle-zelande-topographie.jpg

 

Si vous regardez un planisphère vous verrez que la Nouvelle-Zélande est tout en bas à droite, assez loin de tout et diamétralement opposée à l'Europe sur le globe !!

 

On a donc atterri à Christchurch, la ville principale de l'île du Sud, le 5 septembre, assez crevés des 42 heures de voyage mais paradoxalement pas aussi morts qu'au retour. On a récupéré notre campervan, on l'a rempli de courses et on a retrouvé Che, un ami de l'INSA, qui venait d'arriver avec sa copine Nadia pour un "work and holiday visa" d'un an. C'était super sympa de se retrouver après plusieurs années, et notre premier repas en NZ était...dans un resto chinois :) Il faut peut-être rappeler que tout le centre de Christchurch est fermé en ce moment pour cause de reconstruction après le tremblement de terre qui a fait des dégats sévères en février...

On était tellement crevés qu'on n'a même pas pensé à faire une photo de nos retrouvailles - dommage !

 

On a passé notre première nuit juste en dehors de Christchurch, au hasard dans une petite route de campagne et on a bien apprécié la couverture en rab qu'on nous avait donné avec le campervan !

 

Tant qu'on parle du campervan, quelques petites photos pour vous montré ce qui a été notre véhicule, notre chambre à coucher, notre salle à manger et notre buanderie pendant ces quatres semaines :

 

DSCN2205

Je vous rassure tout de suite, ceci n'est pas notre "petite route de campagne juste en dehors de Christchurch" où nous avons passé la nuit, c'est une photo prise le lendemain...

 

L'intérieur du campervan en fonction "jour" et "allez les bleus" : une petite table au milieu avec deux "canapés" de part et d'autre.

DSCN2413

 

L'intérieur du campervan en fonction "nuit", la table se transforme en sommier avec une autre planche cachée sous un des canapés, et les coussins du canapé complètement les canapés pour former le matelas. Astucieux !

A droite la cuisine au gaz + évier et à gauche le miroir de la porte qui donne sur les toilettes/salle de bain.

On n'a presque pas utilisé la douche car ce n'est pas une vraie douche, juste un petit jet pour faire une toilette rapide, puis ça inonde tout ! Et les toilettes étaient réservé aux pipis... Car ce qui rentre doit ressortir, et ce n'est pas une corvée très agréable !!

DSCN2264

 

Côté avant du véhicule

DSCN2265

 

En somme c'était assez bien fait et pratique, mais si c'était à refaire on aurait pris un véhicule sans toilette/sdb, car on ne s'en servait pas vraiment.

 

Le 6 septembre, l'aventure commence vraiment. Une petite carte de notre trajet sur l'île du Sud, "A" étant Christchurch :

South-Island.jpg

 

On s'est levés tôt sans problème et on a pris la route vers l'Est, en direction de Arthur's Pass National Park, situé en plein dans la chaîne de montagnes. On sort vite de la zone agricole des plaines et on commence à monter dans un paysage typiquement alpin - pas beaucoup d'arbres, de larges vallées avec des "braided rivers", des rivières gravillonneuses très plates et très sillonneuses. C'est magnifique et il fait très beau.

DSCN2118

 

Une fois arrivés à Arthur's Pass, le radar à oiseaux de Marie est activé. Objectif du jour : les kéas !! Les kéas sont de drôles de perroquets montagnards endémiques de Nouvelle-Zélande, qui sont bien connus des néo-zélandais et des voyageurs pour leur goût de la destruction pure. Les essuie-glaces, les joints des portes, les sièges de moto, tout y passe. Cela faisait longtemps que rêvais de voir des kéas - maintenant j'y étais !!

 

Avant d'aller se balader, un a pris un chocolat chaud dans un café du "village" (5 maisons au bord de la route) et au bout de 5 minutes j'ai sauté en l'air - des kéas !!!! Deux kéas sont arrivés sur la terrasse du café d'en face et ont commencé à tout explorer.

 

DSCN2131

 

Gabriel avait peur qu'ils se mettent à détruire le campervan mais ils ont été sages.

DSCN2136

 

A un moment donné une voiture s'est arrêtée au bord de la route et un gars est sorti avec un sandwich à la main - les deux kéas l'ont tout de suite repéré et ont foncé vers lui. Quand il est reparti ils étaient encore sur sa voiture qui roulait, puis ils se sont envolés au sol et ont commencé à détruire... la route !!! Ils devaient être frustrés et se sont vengés sur l'asphalte !

 

On est partis se balader dans la forêt aux alentours du village, où j'ai vu mes premiers oiseaux endémiques (qui n'existent qu'en Nouvelle-Zélande) ou natifs (originellement de Nouvelle-Zélande mais aussi dans d'autres pays). Il faut dire qu'en Nouvelle-Zélande il y a tellement d'oiseaux introduits que ce n'est pas évident de trouver ceux qui viennent vraiment d'ici.

 

Lors de notre séjour, j'ai vu un peu plus de 100 espèces, et le quart d'entre elles sont introduites : pinsons, étourneaux, bruants, merles, grives etc. d'Europe ; cygne noir, pie, perruches etc. d'Australie... la liste est longue.

Mais pire que les oiseaux, les introductions les plus problématiques sont celles de mammifères : les rats, possums et hermines qui ont été introduits pour diverses raisons lors de l'arrivée des hommes en Nouvelle-Zélande déciment la végétation et les oiseaux natifs. Une trentaine d'espèces d'oiseaux avaient déjà été exterminées avant l'arrivée des européens, par les rats introduits par les polynésiens (les ancêtres des maori) et par la chasse, et une dizaine d'autre a été éteinte depuis. C'étaient des oiseaux très particuliers, la Nouvelle-Zélande ayant été séparée du reste des continents depuis 80 millions d'année. Des oiseaux géants de type autruche de 250 kg, le plus grand aigle qui n'ait jamais existé, des oiseaux aux formes et aux couleurs incroyables...

 

Et des espèces qui survivent aujourd'hui, certaines sont loin d'être sauves. Dans les zones du pays qui sont encore peu habitées et peu transformées, les prédateurs introduits continuent de faire des ravages malgré les campagnes de capture et d'empoisonnement.

Comme il n'y avait pas de prédateurs terrestres (et même pas de mammifères à part des chauves souris) avant l'arrivée des hommes, les oiseaux de NZ ne sont pas "programmés" pour se défendre du danger venant du sol. Ainsi, la femelle kokako ne quittera jamais son nid, même devant une hermine. Le kiwi et le kakapo s'arrêtent net lorsqu'ils voient un chat et n'ont pas le réflexe de s'échapper. La liste est longue...

Et c'est sans parler des dommages que causent les espèces introduites à la végétation. Des forêts entières sont menacées à cause du possom qui mange les bourgeons des arbres à une allure incroyable.

 

A côté de ça, le gouvernement et les associations font des efforts monstres pour limiter les dégats et essayer de renverser le cours des choses : en plus des campagnes extensives de capture et d'empoisonnement (très controversé) des mammifères et des programmes d'élevage en captivité, des morceaux entiers d'habitat préservé sont "mis sous cloche" avec des barrières très hi-tech pour empêcher les mammifères de rentrer. La barrière d'un sanctuaire qu'on a visité faisait 9 km et a couté plus de 2 millions de dollars... Certaines îles ont pu être débarassées des mammifères et servent également de sanctuaires pour des espèces d'oiseaux réintroduites.

 

Revenons à nos moutons - et c'est le cas de le dire, car on en a vu des moutons !!! Septembre est en plus l'époque des naissances, on a donc vu des tonnes d'agneaux tout mignons !!

 

Après notre balade dans la forêt, on est revenus au campervan pour manger, et qui s'est pointé ? Un couple de kéas très curieux et aventureux qui ont même voulu profiter d'une porte ouverte pour s'inviter !!

 

Pendant que l'un d'entre eux essayait de rentrer par en haut...

DSCN2172

DSCN2174

 

...le deuxième a tenté une autre approche.

DSCN2175

 

Au premier coup d'oeil, les kéas ont l'air peu colorés

DSCN2178

 

Mais quand ils s'envolent ils dévoilent une superbe couleur rouge sous leurs ailes.

 

 

 

Après cette deuxième rencontre avec les kéas, on est partis en direction de la côte Ouest, où on voulait passer la nuit.

La côte Ouest est vraiment superbe, c'est le dernier endroit a avoir été colonisé par les hommes et à ce titre c'est le plus préservé. D'immenses forêts natives qui arrivent jusqu'à la mer, avec des fougères arborescentes, des arbres immenses, de la mousse et des fougères partout... Sur presque toute la route qui longe la côte, on est entouré de cette forêt magique. Par contre, il pleut beaucoup... On ne parle pas de mm de pluie par an mais de mètres. 10 m de pluie par an sur un des fameux glaciers que l'on verra plus tard, 2 m de pluie par an à Okarito où nous sommes restés deux nuits.

 

Okarito est un petit hameau très tranquille avec une trentaine d'habitants, parfait pour les amateurs de nature avec sa lagune et sa forêt habitée par des kiwis.

Le lendemain de notre arrivée le 7 septembre ,on y a fait une balade en kayak sur la lagune, le point fort étant quand on pénète par une mini rivière au coeur de la forêt. C'est calme, silencieux (sauf pour les oiseaux !) et on se sent seul au monde.

DSCN2229

 

Il ne fait pas beau, c'est dommage, mais au moins il ne pleut pas !!DSCN2215

 

Après le kayak on va se balader au bord de la mer, c'est la mer de Tasman. Cette mer a toujours une luminosité particulière, je ne sais pas d'où ça vient, l'eau a une couleur très spéciale.

 

DSCN2236

DSCN2244

 

Le soir, on retrouve Ian de Okarito Kiwi Tours, un guide passionné et passionnant qui nous emmène avec deux autres touristes dans la forêt pour observer les kiwis. Il commence en nous prévenant que ce que l'on va essayer de faire sera très difficile et qu'il faudra être très patients et très concentrés. Ensuite il nous explique : les mâles de cette forêts sont tous équipés de radiotransmetteurs et il est autorisé à rechercher leurs fréquences avec son antenne. On peut donc savoir relativement précisément où se trouvent les mâles dans leur territoire, les femelles n'étant jamais loin. Ensuite, en gros on se placera sur le sentier en face du signal et on attendra que le kiwi traverse le sentier.

Ca vous semble très improbable ? C'est ce que j'ai pensé aussi, mais il vante un succès d'observation de 98% donc on lui fait confiance...

 

On part donc pour la forêt peu avant la tombée de la nuit, et pendant qu'on entre dans la forêt il nous explique tout un tas de choses sur les kiwis.

Ce sont vraiment des oiseaux remarquables - vous savez peut-être déjà qu'ils ne se trouvent qu'en NZ, qu'ils sont nocturnes et incapables de voler, et qu'ils piquent le sol avec leur long bec pour trouver des invertébrés.

Mais est-ce que vous saviez :

* qu'ils sont de la famille des autruches et emeus,

* qu'il n'y a pas un kiwi mais 5 espèces différentes,

* que l'oeuf pondu par la femelle est le plus grand proportionnellement à sa taille (20% du poids de la femelle, comme si nous accouchions de bébés de 10 kg !!)

* qu'ils ont beaucoup de caractéristiques qu'on accorde généralement aux mammifères (bon sens d'odorat, plumes ressemblant plus à des poils, moustaches, température corporelle de 37-38°C, deux ovaires fonctionnelles, os à moelle au lieu d'os à sacs aériens...), c'est donc le plus mammalien des osieaux !

 

Une fois arrivés dans le territoire d'un couple bien connu d'Ian, il cherche avec son antenne et est tout excité de nous apprendre que le mâle n'est qu'à une dizaine de mètres. On doit donc attendre là sans bouger et sans faire de bruit pour l'entendre s'approcher. On attendra plus d'une demie-heure (avec des moustiques qui nous piquent la figure !! mais on ne doit pas bouger !!) dans le froid et la nuit avant de commencer à entendre "scrunch, scrunch" dans la végétation : le kiwi s'approche !!! On l'entend de plus en plus, puis Ian illumine le sol au bord du sentier avec sa lampe rouge (lumière invisible pour les kiwis). Tout d'un coup on entend le kiwi accélerer en suivant le sentier, donc on le suit en essayant de faire le moins de bruit possible. Et soudain, une boule marron détale devant nous et traverse le sentier en un éclair. C'était notre kiwi !! Je suis contente mais un peu déçue quand même car malgré tout ce suspens on ne l'a pas vraiment vu.

 

Ian nous dit qu'on va réessayer mais je n'y crois pas trop : quelle chance que le kiwi retraverse le sentier alors qu'il a toute la forêt ?? C'était sans penser que la femelle est restée de l'autre côté... On se répartit le long du sentier pour augmenter les chances d'entendre quelque chose, on a tous des talkies-walkies au cas où on verrait ou entendrait quelque chose. Avant de partir, Ian nous a fait écouter les cris des kiwis sur CD pour que l'on sache ce que l'on cherche.

 

Plusieurs hiboux se font entendre, mais rien d'autre, c'est très calme. Puis tout d'un coup, une sorte de croassement de grenouille prolongé résonne dans la forêt. La femelle appelle le mâle depuis l'autre côté !!! Et ensuite une sorte de hurlement de cochon aigu - le mâle répond !!!!! La femelle crie une dernière fois, ce n'est pas dur d'imaginer la conversation.

- "Chéri !!!!!!!!!!!!!! T'es où ???????????"

- "Je suis làààààààààààààà"

- "Ramène toi !!!!!!!!!!!!"

 

Ian nous dit dans les talkies walkies de revenir vers lui, il a retrouvé la fréquence du mâle qui s'approche à nouveau du sentier. On se met en face du signal et on attend - pas besoin d'attendre longtemps, au bout de quelques minutes le "scrunch, scrunch" recommence puis tout d'un coup il est là, au bord du sentier. Il s'arrête quelques secondes puis file dans la végétation. On l'a bien vu, à 5 ou 6 mètres, une grosse boule marron avec un long bec arqué !!

 

On est tous ravis de cette observation qu'on aura si bien mérité !

 

Au retour on passe par le territoire d'un autre couple, on les entend scruncher dans la végétation mais ils ne sortiront pas.

Une belle aventure !!

 

Bien sûr on n'a pas pu prendre de photos, mais je vous en met une d'internet.

Tokoeka.jpg

 

Le lendemain au petit matin, le 8 septembre, il pleut des cordes. On a prévu de descendre la côte en passant par les deux glaciers, Franz Joseph et Fox, mais avec ce temps pourri ça va être difficile.

Mais si dès le deuxième jour on baisse les bras à cause de la pluie, on est fichus !!

Ces glaciers sont uniques au monde car ils sont très proches du niveau de la mer (300m environ) et terminent au milieu de la forêt au lieu d'être tout en haut dans la zone alpine.

On prend donc la belle route entourée de forêt magique en direction de Franz Joseph. Sur le parking, trois kéas trempés jusqu'aux os cherchent quelque chose à manger, mais la pluie a chassé les touristes donc ce n'est pas leur jour.

Pour accéder à la face terminale du glacier, il faut marcher 45 minutes, on se couvre donc de toutes nos couches imperméables pour y aller.

Au bout de 15 minutes on arrive dans la vallée du glacier, c'est tout simplement impressionnant. Un panneau montre que dans les années 1800, le glacier était bien plus grand, puis dans les années 70 il est devenu tout petit avant de recommencer à grandir.

Glacier.jpg

 

DSCN2280

 

Comme la glace est dangereuse, on n'a pas le droit d'y aller à moins d'aller avec un guide. On se contente donc de regarder ce monstre de glacer et de cailloux depuis là où on est.

DSCN2277

 

On revient au campervan trempés, on étend toutes nos fringues là où on peut et on repart vers le Sud. On hésite toujours à faire la balade du Fox Glacier... puis finalement on laissera tomber, assez de balades sous la pluie pour un jour !

 

On s'arrête à plusieurs points le long de la route, dans des endroits superbes malgré le mauvais temps. Des petites criques avec des jolies plages bordées de forêt, des falaises avec des phoques dans l'eau, des boardwalks dans la forêt (les néo-zélandais sont fans des sentiers aménagés et c'est tant mieux, on ne revient pas tout boueux !)...

DSCN2315

 

Le lendemain, 9 septembre, le temps s'est amélioré, il ne pleut plus et il y a des éclaircies. Ouf !

On longe encore un peu la côte en passant par des coins très tranquilles, de longues plages désertes, et on fait quelques petites balades. On est récompensé par de beaux arc-en-ciels.

DSCN2323

DSCN2331

 

Un kereru, le pigeon endémique de NZ. Une grosse bête de 650 g !!

DSCN2363

DSCN2375

DSCN2379

 

Ensuite on reprend la route qui va vers l'Est, en direction de Queenstown, d'où Gabriel prendra son avion le lendemain pour assister au premier match à Auckland.

Sur la route, on s'arrête faire des mini-balades qui mènent à de jolies cascades à travers la forêt. Je ne me lasse pas d'admirer ces forêts, pleines de fougères de toutes sortes et avec des verts plus vifs les uns que les autres.

DSCN2407

 

Sur un des parkings on voit cette drôle de voiture de supporter :

DSC00917

 

Lorsque l'on recommence à grimper vers les montagnes, on passe deux magnifiques lacs gigantesques, et le temps qui tient bon permet de faire quelques belles photos. La végétation qui n'a pas encore redémarré après l'hiver est teintée de rouges et de marrons qui contrastent avec le vert des plantes vivaces et le bleu du lac et du ciel.

DSCN2417

 

On arrive à Queenstown où le temps est en train de se couvrir, et on passe la soirée devant la cérémonie et le match d'ouverture de la coupe du monde. Ca y est, ça commence vraiment !!

 

Je vous laisse digérer cet article déjà long et je continuerai demain pour la suite de l'île du Sud...

Partager cet article
Repost0

commentaires

C
<br /> Marie désolée de ce commentaire écrit par Jeanne, j'en ai marre qu'elle soit enregistrée sur mon ordi à chaque fois !!! Je te laisse changer et mettre Cyriele ??<br /> <br /> <br />
Répondre
J
<br /> Tes photos sont belles Marie... Et c'est bien, tu retranscris bien la catastrophe des mammifères introduits ici ;-) mais t'as oublié de dire que sont organisées des chasses au possum très<br /> régulièrement :D<br /> <br /> <br />
Répondre
M
<br /> Une fois de plus, un véritable régal! J'ai pouffé de rire à plusieurs reprises....quant aux paysages....ils sont tout simplement grandioses. Bravo aussi pour la partie historique: du coup, on se<br /> régale ET on s'instruit en même temps! Quand vas-tu publier ton premier livre ???? Can't wait for the next installment!!<br /> <br /> <br />
Répondre

Présentation

  • : Le blog de Marie et Gabriel à Séville
  • : Après 2 ans et demi à Hambourg au Nord de l'Allemagne, nous voilà partis pour 2 ans d'expatriation à Séville, tout au Sud de l'Espagne. Un changement radical!...
  • Contact

Quel temps fait-il à Séville ?

Click for Séville, Espagne Forecast

Recherche

Recevoir 1 avis de publication

Pour recevoir un avis sur votre boîte mail lors de la publication d'un nouvel article sur ce blog, il faut s'inscrire à notre "Newsletter" ci-dessous